Si tu lis ces lignes, alors peut-être es-tu un taulard de la vieille école, de quand que le site était bleu et blanc et que Cyric était le maître incontesté de ce royaume de béton et de métal rouillé. Il se peut aussi que tu ne connaisses que les briques et le vieux papier du nouveau Taulard ressuscité par les bons soins de Daffy et Kris. (Je sais, j’en oublie peut-être d’autres)
Bref, tu es là et tu lis avec une attention dévouée ce magnifique texte que même Victor Hugo aurait voulu faire sien, mais que fais-tu d’autres, hein, feignasse de communiste?
Taulard doit vivre et bouger, un peu comme un asticot au bout d’un hameçon, pour ne pas disparaître. Alors, toi qui voles ton patron en perdant du temps ici, tu en perds sûrement ailleurs. Donc, si tu tombes sur quelque chose de drôle, de bizarre, une chanson de merde, un tracteur qui viole un moule à gâteau ou n’importe quel truc qui soit intéressant (à l’appréciation de chacun), propose-le en brève en cliquant résolument sur le lien « ajouter une brève » en haut, à droite, dans l’encadré MATRICULE.
Tu auras ainsi participé au maintien du biotope du Taulard et tu seras fier de l’annoncer à ta famille !
De plus, tu auras des épluchures de patates en rab’ de ton pain sec pendant une semaine, alors n’hésite pas !
PS : Les matons se réservent le droit de supprimer ou incendier toute brève qu’ils jugeront inopportune, poil à la prune !
La légende de Jean-Mouloud Dji et la secte des Circonférenciers.
C'est l'histoire d'un mec qui revient de la ville la plus petite du monde. Il y rencontre le sexe de l'homme qui lui avait greffé 2 ans auparavant suite à un accident de peignoir. Le même peignoir dont le bout de la ceinture lui avait été greffé par mégarde dans le rouston droit. Il fallait donc réopérer car cela lui faisait une bosse dans le calebut. La bosse du calebut était célèbre dans la petite ville, tout le monde la connaissait et on l'appelait même "Moby dick"! Elle était blanche et énorme, capable d'éventrer un chalutier de son seul poids. Jusqu'au jour où le furoncle éclata en plein publique. PLOTCH!!! Des litres d'un liquide vermeil s'écoulèrent de la dégénérescence tandis que Belle maman débarquait en s'écriant "mon dieu mais qui a renversé la soupe??? Oui, qui???
La question restait sans réponse...... "hmmm oui la souplette la bonne souplette!!", surenchérit le beau-fils dont l'énorme protubérance avait laissé place à une curieuse rose rouge dont les étamines saupoudraient les rues de Genève, sympathique petit village, d'une poussière jaunâtre nauséabonde. Soudain! C'est le drame! On avait trouvé dans la "soupe" le dentier de grand père! C'est pour cette raison qu'on se décida de prendre contact avec Jean-Mouloud, l'homme le plus compétent en la matière. Jean Mouloud Dji était le spécialiste de la soupe de furoncles. Sans tarder il se mit en route pour Genève au volant de sa mouloubylette qui pouvait facilement dépasser les 88 miles à l'heure. C'est d'ailleurs au moment d'atteindre la vitesse fatidique qu'un éclair se produisit et la mouloubylette disparut, laissant une trace enflammée sur le bitume. Jean-Mouloud, ne comprenant rien, se retrouva roulant sur la digue de st Tropez en l'an de grâce 237. Il y fit une rencontre surprenante en la personne d'un dauphin musqué, car, en l'an 237, la digue n'existait pas encore. Le cétacé lui déclara, Sir, sir, prenez garde, il y a dans ces lieux une bien étrange coutume! Et quelle est-elle? Lui demanda jean mouloubylette d'un air circonspect. Il s'agit d'une secte, la secte de ceux qui pètent dans une circonférence! Flatuler dans une circonférence? Mais dans la circonférence de quel endroit ou objet? Demanda Jean-Mouloud, qui était bien élevé.
C'est là tout le mystère...
Le mystère ne tarda pas à se lever quand apparurent ceux qui pètent dans la circonférence! Le poisson, sir, qu'on fère est rance, déclara un des membres de la secte qui tentait de gouter le dauphin musqué tandis qu'un autre déjà repu de l'animal s'était mis à lacher des caisses au milieu du cercle temporel qui se mit à tournoyer dans tous les sens entrainant toute notre équipe en rond dans cette puanteur nauséabonde! Certes, cette conférence était des plus caustique et n'avait pour seul but, de maitriser le monde à force de pets! C'est alors que la foudre frappa le bossu de l'équipe. Mais ça ne l'avait pas foutu droit pour autant, ... ni transformé en baleine à bosse! Jean-Mouloud, devant ces évènements qui démentaient les livres d'histoire, se sentit tout chose et se mit à se balancer d'avant en arrière en marmonnant inintelligiblement. Voyant ça, les circonférenciers pensaient qu'il s'agissait d'incantations machiavéliques. Ils prirent peur et tous se mirent à péter en tournoyant autour de Jean-Mouloud qui continuait à marmonner en de balançant d'avant en arrière. Le cercle infernal prenait de plus en plus de vitesse et sentait de plus en plus fort si bien que l'eau de mer se mit à bouillir en prenant une teinte verdâtre. Le sable de la plage en contact avec cette mixture se mit à rougeoyer d'une telle force que même le chef des circonférenciers pris peur et détala entrainant avec lui tout son cortège de pétomanes. Restait là Jean-Mouloud en proie à une terrible solitude dans une atmosphère d'œufs de cent ans. Que fallait-il faire, se demanda-t-il? Ni une ni deux, il commença à creuser. Jean-Mouloud Dji ne part jamais sans sa pelle! Arrivé à 35 m de profondeur il jeta un coup d'œil en l'air en constatant que ce n'était pas assez. Il souhaitait par-dessus tout être tranquille, en paix et s'engouffra corps et âme dans ce monde de merde. Arrivé à 5000 m il jugea que c'était assez et que c'était le bon endroit car il pouvait faire cuire ses chipolatas facilement et rapidement. Et au bout de 3 mois il s'endormit. La terre se referma lentement sur Jean-Mouloud, l'enroba dans une couche tendre de glaise oxygénée à 37°. 1778 ans plus tard, Jauni Woker Ali Day, fraîchement arrivé au port de St Tropez, lâche l'ancre de son yacht de 64 mètres à l'eau. Il se trouvait juste au-dessus de Jean Mouloud. Oui notre Jean Mouloud avait été peu à peu au fil des ans, expulsé de l'intérieur de la terre, un peu comme le corps se débarrasse de corps étrangers.
Il était devenu peu à peu une moule. On l'appelait désormais Jean Moule dans les milieux de crustacés autorisés. L'ancre se dirigeait donc à toute vitesse sur notre molusque qui était en train de ranger ses chipolatas par ordre alphabétique, car il avait pour habitude de leurs donner des noms.
Il y avait entre autre, Georgette-Chantal, Cunégule d'Ambroisie, Huguette Bonasse et Gisèle de l'Endouillette Cambrée.
Ses favorites. Pour qui il vouait une véritable admiration. Pourtant, ses chipo l'attachèrent à un rocher. Quel cruel retournement de situation. La seule solution pour Jean Moule fut de faire deux saltos, de répéter 10 fois le nom de zeus, de se mettre un doigt dans le nez, un dans le fondement et de sautiller sur place jusqu'à ce que le noeud de ses chipos cède.
Ce qui n'est pas aisé pour une moule qui n'a ni main, ni nez, ni fondement... il y avait pourtant une explication, en souvenir du bon vieux temps, Jean moule s'était fabrique un anus artificiel en fiente de moule séchée. Ce qui était très rare, la fiente de moule sechée, les moules n'ayant pas de fondement... à quoi tenait se miracle?...
Jean-Moule tenait jalousement ce précieux secret!
Un secret qui risquait de rester au fond de l'océan car l'ancre se dirigeait à toute vitesse sur notre Jean Moule. Au moment de le percuter, il se produisit quelque chose d'exceptionnel. En effet, Une de ses chipolatas, Gisèle de l'Endouillette Cambrée, se précipita et prix l'ancre en pleine tête. Ce sacrifice sauva de justesse Jean-Moule d'une mort certaine. Ce sacrifice eut pour effet de détacher, sous le choc du décès de Gisèle, l'anus artificiel en fiente de moule de Jean-Moule dont les deux parties de la coquille se séparèrent. Puis, dans un grand éclair aveuglant surgit Bourbakipak le chefs des Circonférenciers muni d'une louche à soupe géante! Bourbakipak récupéra le precieux anus artificiel en fiente de moule de Jean Moule qui se recroquevilla car il venait de perdre coup sur coup une de ses chipos et son organe favori. Il décida qu'il était temps de passer à l'action! Il invoqua le dieu des vents Yphoksapèt et lui demanda de réduire en miettes la fameuse louche à soupe géante de Bourbakipak. Cela devait lui permettre de le combattre plus efficacement grâce à son auriculaire laser. La louche géante fut détruite et tout rentra dans l'ordre. On entendit plus jamais parler des circonférenciers.